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Les souffrances underground du jeune Nostradamiaou

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Nom :
Lieu : Paris, France

18.2.05

Plantage de décors


Tous ceux qui me connaissent le savent. Je suis commercial. Et ouais: Après une carrière d’accordeur de piano aussi courte que sympa, j’ai repris ma trousse et mes cahiers en quête du sésame magique ouvrant les portes du fabuleux monde des DRH : Le diplôme.

Evidemment, l’élève modèle que je n’avais jamais été ne s’était pas transformé miraculeusement en brillant bachelier juste en réparant des pianos, même ceux des riches. Par voie de conséquence, dans mon école de commerce, ou plutôt celle qui a bien voulu de moi, le sacro-saint BDE n’était pas plus courtisé par la Société Générale que par l’arabe du coin, si vous voyez ce que je veux dire. Le BDE, pour ceux qui n'ont pas eu le bonheur de connaître ça, c'est le "Bureau des Elèves". J'en parlerai plus longuement une autre fois, le sujet est trop vaste. Je disais donc que mon école n'était pas suffisemment bien côtée pour que les grande entreprises nous apportent les croissants au lit le dimanche matin. Ca ne nous a certes pas empêchés de nous en mettre des bonnes - quoique je n’ai jamais été très proche de mes petits camarades - mais nous, on ne se biturait pas aux frais de la princesse. Et au réveil, la vodka de chez Lidl, elle est beaucoup plus vindicative que la Zubrovska, je ne l’apprends à personne.

Revenons en à nos moutons, parce que je n’écris pas tout ça par hasard, même si ça en donne l’impression. J’ai fait une école de commerce, disais-je ; faute d’y avoir appris à écrire, j’ai appris à vendre. C’est d’ailleurs ça la différence entre une école de commerce et une école de journalisme : Quand tu sors de l’école de journalisme, tu sais toujours pas écrire mais tu ne sais pas vendre non plus. Et vous n’imaginez pas tout ce que des esprits tordus peuvent inventer comme techniques et subterfuges pour vous amener à acheter un machin dont vous n’avez pas besoin. Ben moi je l’imagine, parce que je les ai appris gentiment. Le pire, c’est qu’à un moment j’étais presque moi-même intimement convaincu que le marketing est un truc humaniste, voire salutaire pour notre société. Moins une et je me faisais avoir. Ils sont forts les mecs qui inventent ça, y a pas à dire. D’ailleurs, je me demande : Les types qui ont créé ces doctrines, ils ont fait quoi eux comme études puisque ce que nous on a appris, ça n’existait pas à leur époque ? Qui étaient leurs professeurs ? Dieu en direct ?

Là où je tente péniblement d’en venir, c’est que ces formidables outils mercatiques, je me suis fait chier à les apprendre alors je vais les utiliser, et à vos dépens. Quand bien même à priori vous n’auriez pas de raison de me lire, je vais vous amener à le faire quotidiennement. Je sais, c’est cruel, mais j’ai au moins le mérite de prévenir, moi. Je dis « moi » parce que quand tu achètes Libé ou le Figaro, ils n’ont pas la classe, eux, de te prévenir que tu te fais manipuler.
Au fait, pour ceux qui ne le savent pas, « la mercatique » c’est comme le marketing, sauf que si tu utilises ce mot ailleurs qu’à l’académie française, 23 rue de Conti - 75006 Paris, tout le monde se fout de ta gueule.

Alors comment je vais m’y prendre, c’est très simple mais je ne vais quand même pas pousser le vice jusqu’à vous l’expliquer. De toute façon, vous ne comprendriez pas, faut faire des hautes études commerciales pour ça. Ben ouais, qu’est-ce que vous croyiez...

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